Shimanto

· Food, Illustration, Voyage

Notre road-trip japonais se poursuit ! Après avoir quitté la ville de Kōchi, nous descendons au sud de l’île de Shikoku pour atteindre Shimanto et y poser nos valises pour 2 nuits afin de bénéficier d’une journée complète de visite sur place.

On ralentit le rythme pour profiter davantage de la campagne japonaise et découvrir cette facette nippone que je préfère, celle un peu plus sauvage. Comme d’habitude, je vous emmène avec moi pour vous montrer cette partie rafraîchissante du Japon. On respire à pleins poumons, c’est parti !

 

Balade en yakatabune sur la rivière

Shimanto-gawa est un fleuve long de 196km, le plus long de Shikoku, réputé pour posséder une eau extrêmement pure et claire. On peut choisir de le parcourir en canoë kayak… Nous avons opté pour un moyen de locomotion bien plus traditionnel, le yakatabune.

 

Cette péniche traditionnelle japonaise est apparue durant l’époque Edo et servait de bateau privé aux shoguns (un équivalent ancestral du yacht privé en quelque sorte !). Lorsque l’on entre dans un yakatabune, on peut admirer le paysage de tous les côtés et en même temps, profiter d’un bon repas grâce à la longue table trônant au milieu tout en s’installant confortablement sur les coussins déposés sur le tatami.

 

Cette balade nous a été recommandée par les propriétaires du logement que je vous décrirai à la fin de l’article. L’embarcadère n’est pas vraiment facile à trouver (d’autant plus je ne me souviens plus de l’adresse exacte mais il me semble que la société s’appelait « Yakatabune Sakoya ») : Au pire, rendez-vous à l’office de tourisme de Shimanto ou montrez une photo de cet article et les habitants sauront vous guider.

Le guide/batelier du jour, se prénommant Hideaki, était extrêmement bavard et ouvert, malgré le fait qu’il ne parlait pas un mot d’anglais (merci Google translate de réussir à relier les gens de tous horizons !). Nous étions seuls avec lui à bord du bateau avec un couple de touristes venant de Hong Kong : la balade s’est donc faite en comité très restreint et ce fut très appréciable !

Ceci étant, Hideaki nous a expliqué que l’eau n’était pas très claire en cette saison à cause de la pluie et qu’il faudrait venir en hiver pour apprécier sa limpidité exemplaire. Il nous l’a prouvé en nous laissant feuilleter son album photo tout en racontant quelques anecdotes « people » vu qu’il était extrêmement fier d’avoir posé aux côtés de Kumamon, la mascotte « star » de la préfecture de Kumamoto sur l’île de Kyushu.

La balade nous a également fait découvrir les chinkabashi (ponts submersibles) enjambant le fleuve, construits sans barrière, afin de résister aux intempéries et inondations.

Comme toujours, les japonais savent composer avec leurs faiblesses pour s’adapter au mieux aux caprices de la nature.

 

Dragonfly park

Nous sommes partis visiter ce parc aux libellules de bon matin et encore une fois, nous étions presque les seuls touristes à nous y promener. C’est donc dans le calme le plus olympien que nous avons pu déambuler librement au milieu des nénuphars et des libellules.

74 espèces peuvent être observées tout au long de l’année : nous n’avons dû en distinguer que quelques unes dans leur habitat naturel mais c’était tout de même très apaisant d’assister à ce spectacle.

 

Le parc comprend également un musée des insectes et une petite boutique de souvenirs dont les bénéfices sont destinés à la sauvegarde des espèces de libellules.

 

Déguster des anguilles à Shimantoya

(SHIMANTOYA 2494-1 Yamachi, Shimanto, Kochi 787-0157) Ce restaurant est apparemment le plus populaire pour y déguster un bento à base d’anguilles fraîchement pêchées dans le fleuve Shimanto.

 

Nous y avons donc déjeuné avec une vue imprenable sur le cours d’eau. Les anguilles caramélisées et les crevettes y étaient savoureuses… et déguster tout cela assis sur un tatami rend l’expérience encore plus savoureuse (…ou douloureuse, tout dépend de votre souplesse !).

Le restaurant est même apparu dans un manga !

 

 

Notre petite maison à Shimanto

Si vous souhaitez assister à un home tour complet de ce logement à Shimanto, je vous invite à regarder mes stories à la une « Shikoku » sur Instagram : Tout ce que j’y raconte n’est pas vraiment fiable mais les amateur.trice.s de l’émission « La maison France 5 » y trouveront sans doute leur compte ;-). Plus sérieusement, cette petite maison était vraiment parfaite comme pied à terre dans la région… d’autant plus que les propriétaires vraiment adorables, nous ont donné de bons conseils pour dîner, faire nos courses, visiter les environs : On avait presque l’impression d’être des locaux !

Nous avons acheté quelques vivres dans le supermarché non loin de là et nous sommes composé le petit déjeuner solide et gourmand que vous pouvez voir sur la photo ci-dessus.

Voici donc l’adresse de cette maison, qui peut vous être utile si vous comptez séjourner dans la région : Shimanto river house Yuube-Tei (2082-7 Fuba Kamimachi, Shimanto – 787-0018 SHIMANTO). Voici leur site et page instagram : Dites leur bonjour de ma part !

 

En route vers Matsuyama !

Après cette petite pause nature, nous voilà repartis en direction de la ville de Matsuyama. Avant de vous décrire cette ville pleine de charme dans un prochain article, voici un aperçu des temples croisés sur le chemin entre Shimanto et Matsuyama : les 39, 40, 41, 42 et 43 (Enkō-ji, Kanjizai-ji, Ryūkō-ji, Butsumuko-ji et Meiseki-ji) … Et voilà 5 nouvelles calligraphies pour mon carnet Nokyocho !

 

 

J’espère que vous avez apprécié la destination du jour qui a été pour nous synonyme de jolies rencontres et de reconnexion avec la nature… avant de redevenir un peu plus citadins dans la prochaine ville de Matsuyama : à très vite !

Kochi

· Food, Illustration, Voyage

Enfin ! Je reprends le récit de notre road-trip japonais d’il y a 1 an tout pile. À cette même date je me trouvais dans la ville que je vais vous décrire aujourd’hui : Kōchi !  L’ambiance change complètement par rapport ce que nous vivons cette année n’est-ce pas ? J’espère en tous cas arriver à vous faire évader un peu le temps d’un billet, avec cet immense plaisir de me replonger dans ces photos d’un autre temps, le temps de l’insouciance et de la liberté.

Je vais donc développer notre parcours dans la ville de Kōchi qui est elle-même située dans la préfecture de Kōchi, elle-même appartenant à l’île de Shikoku que nous sommes en train de parcourir… Vous suivez ? Nous avons séjourné 2 nuits à Kōchi (la ville), ce qui nous a laissé un peu de temps pour visiter ses différents points d’intérêt que je vais vous raconter ci-après .

 

Le château de Kochi

Nous ne sommes restés qu’à l’extérieur, souhaitant privilégier d’autres visites dans la ville mais en voici un aperçu, montrant le parc environnant. Ce château, construit en 1611 est le témoin de l’époque Edo et renferme un musée.

Pour les fans d’animation nippone, sachez que ce château apparaît visiblement dans un film Ghibli « Je peux entendre l’océan » dont l’action se déroule à Kōchi (je ne l’ai pas vu, comme la plupart des films Ghibli= oui je sais, la honte ! mais je compte me rattraper sur Netflix).

 

La plage de Katsurahama

La voiture était bien pratique pour y accéder sinon j’imagine que l’on peut prendre le bus (car située à 30mn du centre-ville de Kochi). Cette plage bordée de pins est assez spectaculaire et nous avons eu la chance de bénéficier de cette météo superbe.

Malheureusement, pas de baignade autorisée vu la dangerosité du courant, donc ne prévoyez pas de maillot de bain, ou alors promenez-vous seulement en maillot de bain si ça vous chante (mais il restera désespérément sec).

Cette plage est réputée pour abriter la statue d’un VIP de Kochi : j’ai nommé Sakamoto Ryoma (qui a même un musée en sa mémoire si vous voulez pousser davantage vos connaissances à son sujet). En bref, on lui doit la fin de l’ère féodale au Japon, ce qui mérite bien autant d’attention.

À côté de ça, un joli petit temple surplombe les vagues après avoir marché sur un pont au bout de la plage. L’endroit est excessivement photogénique et impressionnant comme en témoignent ces photos.

 

Le marché Hirome

Ce marché de la ville est un marché couvert constitué de 7 sections aux univers distincts mais la nourriture y a évidemment la part belle. On en a profité pour y déjeuner en voguant de stands en stands pour goûter à ce qui nous faisait envie. Je n’ai pas de stand particulier à recommander, laissez-vous guider par votre intuition et vos envies !

Calamars grillés et crêpes aux mochis

 

Nous y avons testé la spécialité de la région : le tataki de bonite, plat emblématique de la préfecture de Kochi. Une sorte de thon rose juste saisi, mi-cuit qu’il convient de déguster accompagné d’oignon vert, de gingembre et/ou de l’ail… le plat parfait pour les étreintes amoureuses (distanciation sociale ?).

Katsuo no tataki (tataki de bonite)

 

La région est également réputée pour ses agrumes et ses frites de patate douce. Faites-vous plaisir, le marché est le lieu typique pour découvrir de nouvelles saveurs, sortez des sentiers battus et osez !

 

Temple Chikurin-Ji  (Temple 31)

On ne perd pas de vue le pèlerinage des 88 temples de Shikoku : Ce temple vaut le détour non seulement pour notre collection de calligraphies mais aussi pour sa pagode à 4 étages et son écrin de verdure particulièrement apaisant. Je vous laisse admirer.

 

 

 

Autres idées de visites

Voici quelques pistes de visites (que nous n’avons malheureusement pas pu tester) mais qui semblent intéressantes si vous séjournez dans le coin.

LE JARDIN BOTANIQUE MAKINO : ce jardin est dédié à un botaniste japonais réputé, Tomitaro Makino ou « le père de la botanique japonaise » (rien que ça). En face du temple Chikurin-ji, il ravira les amoureux d’érables, chrysanthèmes et autres splendeurs végétales du Japon.

LE FESTIVAL DE DANSE YOSAKOI : Un festival de danse traditionnel qui a lieu le 10 et 11 Août de chaque année (sauf cette année peut-être !). La danse Yosakoi fait intervenir un accessoire que vous verrez un peu partout dans la région : le naruko (une sorte de castagnette japonaise en bois). De nombreux groupes de danse viennent participer au concours organisé durant le festival. L’ambiance doit être tellement chaleureuse, colorée et festive (et j’imagine les stands de nourriture qui vont avec, hehe ! ).

L’OBSERVATOIRE GODAISAN : pour surplomber la ville et admirer le panorama.

 

Gourmandises à Kochi

Nous avons principalement mangé sur le pouce, sur le marché, mais voici 2 adresses recommandées par des locaux qui ont retenu notre attention (et ravi nos papilles)

KUMONYA (1 Chome-4-15 Harimayacho, Kochi) : Un restaurant d’izakaya complètement dépaysant et authentique.

On s’assoit au comptoir, aucun menu en anglais évidemment, nous nous sommes laissés guider par les recommandations du chef… et ce fut la régalade ! Bonite sous toutes ses formes (tataki et maki),  coquillages (je ne saurais dire leur nom), aubergines grillées, tout était absolument délicieux !

PÂTISSERIE NEGRITA : Il me semble que c’est une chaîne de pâtisserie. Si vous êtes en manque de pâtisserie française version nippone, l’endroit est fait pour vous. Assez petit mais il a su combler notre petite envie de sucré. Mention spéciale à la serveuse adorable (qui a peut-être changé depuis).

 

L’hébergement à Kochi

Nous avions réservé un hôtel sans prétention : le Comfort Hotel Kochi surtout pour sa localisation en centre-ville. C’est ici que nous avons eu du mal à nous faire comprendre au sujet d’un parking réservé mais qui en fait ne l’était pas ! Nous avons donc dû nous garer dans un parking public à grand renfort de gestes explicatifs mais tout s’est finalement bien passé…

La chambre était assez petite à mon souvenir mais amplement suffisante pour ce qu’on voulait y faire : dormir.

 

J’espère que vous avez apprécié la visite, d’autant plus en cette période de déconfinement confiné pas très nette. Rendez-vous au prochain épisode pour s’éloigner un peu de la ville et partir le long de la rivière Shimanto !

Mon blog a 13 ans

· Feel inspired, Illustration

Au fil des ans, je vois cette date du 25 mai passer, le sourire aux lèvres… je ne la fête pas particulièrement chaque année mais je pense toujours à ce jour de 2007 où l’idée m’est venue d’ouvrir un blog « pour voir », parce que je trouvais ça génial de pouvoir discuter avec des gens du monde entier, que j’en avais assez de laisser des commentaires à rallonge sur d’autres blogs mode (dont celui de Balibulle ou de Punky B) et qu’il me fallait un espace plus large pour m’exprimer et créer.

Les réseaux sociaux n’existaient pas (mais la messagerie MSN si !), c’était une époque où le seul moyen de communiquer avec vous était l’espace commentaires ci-dessous. Honnêtement, je ne pensais pas que 13 ans plus tard, je serais encore là à vous écrire… Certain.e.s d’entre vous sont là depuis le début, d’autres sont arrivé.e.s en route ou me découvrent tout juste : j’ai grandi et vieilli avec la plupart d’entre vous, tout en partageant mes passions et cela me paraît toujours aussi dingue lorsque j’y pense.

On lit souvent cet enthousiasme béat dans les interviews de blogueuses et je ne ferai pas dans l’originalité car, oui, ce blog a transformé ma vie, que ce soit au niveau humain qu’au niveau des expériences vécues. Je me suis laissée porter par ce qu’il me plaisait de faire et je ne regrette rien.

 

Un blog porte-bonheur

Mais pourquoi s’attarder sur cet anniversaire, cette année en particulier ? Peut-être parce que c’est l’année de mes 40 ans, que 13 est le nombre traditionnellement connu pour être porte-bonheur et que ce blog l’a été depuis 13 ans. J’ai changé par rapport à mes débuts (stylistiquement/physiquement parlant, c’est ce qui est le plus flagrant), mes aspirations et préoccupations également, mais je pense être restée fidèle à ce que je souhaitais en ouvrant ce blog : être sincère et me faire plaisir.

Via cet article, je me replonge dans ces 13 dernières années pour vous condenser le meilleur (et le pire) de ce qui a pu se passer en 13 ans (je n’ai cependant pas rapatrié toutes mes archives sur ce blog, qui commence officiellement en 2008). Sincèrement, je ne regrette rien : toutes ces années ont contribué à ce que je suis aujourd’hui et j’espère continuer à échanger avec vous ici ou ailleurs encore de nombreuses années. Je ne sais pas où cela me mènera mais tant que je prendrai du plaisir à écrire et partager ici, je le ferai.

Pour rire un peu et se dire qu’en 13 ans, il y a eu beaucoup de changement dans tous les domaines, voici un florilège de mes meilleurs souvenirs et looks/ coiffures improbables année par année. Il y aurait tant de choses à dire, mais voici un aperçu de ce qu’il s’est passé ici en 13 ans (si vous voulez rentrer dans les détails, libre à vous de tout relire depuis le début !). J’assume, haha !

Et pour finir, dans la catégorie « cheesy suprême », c’est le moment de vous dire MERCI de tout mon coeur parce que le blog, c’est aussi et principalement VOUS, sans qui mon plaisir ne serait pas vraiment le même <3.

 

2007:

  • Meilleur souvenir : Ma 1ère rencontre avec Alix (pour ma part, je ne montrais pas encore mon visage sur le blog !) mais voici une photo collector de nous deux prise ce jour-là
  • LE look : J’adorais la robe que je portais pour cette rencontre justement, achetée lors de mon 1er voyage au Japon.


2008 :

  • Meilleur souvenir : Mon voyage aux Etats-Unis
  • LE look : Tout dans ce look est tout ce que je ne porte pas aujourd’hui ! (une jupe transformée en écharpe (!), un sarouel, un gilet moumoute et cette coiffure manga-esque) mais il me fait sourire.

2009 :

  • Meilleur souvenir : Ma 1ère rencontre « dédicaces » avec vous lors du Festiblog
  • LE look :  La superposition de couches à son apogée : « Less is more » n’était pas vraiment mon mantra.

 

2010:

  • Meilleur souvenir : La sortie de ma 1ère BD « Serial shoppeuse » (thématique à mille lieues de mes convictions aujourd’hui) mais cela restera un souvenir gravé à jamais dans ma mémoire, pour le travail fourni, les émotions que j’ai pu ressentir, notamment au salon du livre ou en dédicaces dans les librairies de France encore une fois avec vous ! …et, à côté de ça, accessoirement, ce qui a changé ma vie et ma vision fut mon opération de la myopie racontée ici et
  • LE look : ça part dans tous les sens (obsession Pirate boots) mais, malgré ça je rencontre Ewan par hasard, alors peu importe mon look !

2011:

  • Meilleur souvenir : Cette expérience de mannequin d’un jour pour Jean-Paul Gaultier dans le cadre d’un programme ambassadeurs avec (entre autres) Stéphanie et Pauline et ce fabuleux voyage avec cette team JPG à Montréal.
  • LE look : La quête du perfecto parfait a rythmé ce début d’année, mon style s’épurait doucement (je dis bien doucement) et voici un look que je ne porterais pas vraiment aujourd’hui mais je possède encore 2 éléments le composant (la marinière et le perfecto) et les aime toujours autant.

2012:

  • Meilleur souvenir : La sortie de ma 2ème BD « Globe-trotteuses » (et encore des rencontres avec vous à travers la France <3) et cette journée passée avec mon groupe préféré Keane
  • LE look : Je craque enfin (hélas !) sur les baskets compensées Isabel Marant, ce qui donne lieu à ce look (=baskets qui sont toujours dans ma cave) mais on arrive tout de même à me confier un challenge look à Londres en compagnie de blogueuses internationales que vous connaissez certainement.

2013:

  • Meilleur souvenir : Une année riche en voyages : Séoul suivi d’une escapade paradisiaque en Thaïlande puis un retour aux USA… et de nombreux bons moments avec mon ami Lionel, rencontré 1 an avant, par le plus grand des hasards professionnels.
  • LE look : J’abandonne (enfin) cette coupe hérissée pour laisser mes cheveux au naturel

2014:

2015:

  • Meilleur souvenir : Mon voyage d’automne au Japon (encore !) qui m’a dévoilé une autre magnifique facette de ce pays et cette collaboration avec Swarovski qui fut un peu le déclencheur d’une grande histoire d’amour avec Noël.
  • LE look : Mes cheveux sont au max de leur longueur et redeviennent courts (avec mon style vestimentaire qui s’épure de plus en plus : Alléluïa !)

2016:

2017:

  • Meilleur souvenir : La découverte des coulisses de la parade des 25 ans de Disneyland Paris et un voyage à Bali qui m’a fait repenser ma consommation et mes priorités (on a considérablement épuré/transformé notre appartement cette année-là)
  • LE look : Mon style vestimentaire et ma coupe de cheveux se rapprochent davantage de mon idéal minimaliste.

2018:

  • Meilleur souvenir : Mon voyage hivernal au Japon sous la neige, mon road-trip anglais et l’une des plus belles collaborations que j’ai pu faire durant ces 13 années fut avec Kenzo, m’ayant laissé une énorme liberté artistique en plus de me faire travailler avec une équipe géniale (à Beaubourg et pour cette vidéo)
  • LE look : Simple, avec des choses que j’ai déjà dans mon armoire et peu de nouveautés, comme ce look au milieu d’une expo de Tadao Ando.

2019:

  • Meilleur souvenir : Notre road-trip au Japon (que je n’ai d’ailleurs toujours pas fini de vous raconter) et la bougeotte intense de cette année rythmée par des concerts ( Take That, Spice Girls à Londres, Backstreet Boys, Keane, Marina, Little Mix, festival Lollapalooza…) et une saison de Noël parfaitement cosy.
  • LE look : Je fais entrer toujours aussi peu de nouveauté dans mon dressing et cherche des looks simples et faciles à vivre.

2020:

 

J’espère que cette rétrospective de blog-anniversaire vous aura plu : cela permet en tous cas de me rendre compte de mon évolution (comme un Pokémon ?) en espérant pouvoir vivre d’autres jolies choses à vos côtés pour ces 13 prochaines années ! (…avec ou sans déambulateur ?)

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