Esprit de Noël

· Mode

J’espère que votre week-end fut bon ! De mon côté, je suis allée chercher mon sapin et ai commencé à le décorer avec des ornements que j’ai ramenés du Japon. Il lui manque quelques éléments, dont une étoile au sommet (élément capital !… D’ailleurs, si vous avez des pistes pour en trouver une jolie de couleur argentée, je suis tout ouïe) Dans tous les cas, je vous le montrerai une fois terminé.

Les températures ayant bien chuté, j’ai ressorti le bonnet et le col roulé. Une tenue d’hiver par excellence : il ne manque plus que la neige… Ho ho ho Noël, je t’attends avec impatience !


Ma Tenue

Bonnet Etam (déjà vu ici)
Manteau Etienne Deroeux pour La Redoute
Pantalon Jacquemus pour La Redoute (-50%)
Pull Muji
Sac R Edition (-35%)
Baskets Stan Smith Adidas

Rouge à lèvre « 16 Place Vendôme 364 » Color Riche L’Oréal Paris
Eyeliner Super Liner Black Lacquer L’Oréal Paris
Vernis 873 Carnal dentelle Color Riche L’Oréal Paris

Chef Cuisine

· Food

Avant de partir au Japon, j’ai eu la chance d’assister à la présentation de Chef Cuisine, nouvel appareil culinaire révolutionnaire imaginé par la chef triplement étoilée, Anne-Sophie Pic. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre vu que le secret a été bien gardé jusque là.

On m’aurait dit il y a quelques années que je serais excitée de découvrir un appareil de cuisine, j’aurais ri aux éclats. Comme quoi, tout arrive. La nourriture a toujours été ma grande passion mais la cuisine, moins. Je m’étonne chaque jour de réaliser de plus en plus de plats par moi-même donc je ne peux qu’encourager les désespéré(e)s à persévérer.

 

Des plats gastronomiques à la maison

Lors de la présentation, l’appareil a donc révélé ses secrets et en tant que néo-cuisinière, j’avoue avoir été un peu déçue.

En effet, j’ai découvert que Chef Cuisine n’était pas un ustensile pour cuisiner mais une machine qui permettait « seulement » (si je peux m’exprimer ainsi) de déguster à domicile des plats de chef élaborés par notre talentueuse Anne-Sophie.

J’en ai d’ailleurs fait part à cette dernière ce jour-là, demandant ce qui l’avait motivée à créer cette machine.

Elle m’a répondu qu’elle ne voulait en aucun cas freiner les élans de cuisinier de chacun mais permettre à ceux qui manquent de temps, ou qui veulent rester au chaud à la maison, de découvrir des plats gastronomiques de qualité en toute tranquillité, sans effort.

Par la suite, juste avant mon départ au Japon, on m’a envoyé la machine à la maison pour que je puisse tester.

Si je pouvais donner un équivalent du concept de Chef Cuisine, je dirais que c’est une sorte de « Nespresso » de la gastronomie :

Les plats peuvent être commandés sur le site, livrés dans des sachets réfrigérés sous vide respectant bien la saveur de chaque ingrédients puisque les viandes, sauces, accompagnements sont conditionnés séparément.

Le temps d’un billet, je me mets donc dans la peau d’une hôtesse démonstratrice (ou présentatrice Téléshopping ?) pour vous éclairer un peu sur cet OVNI (j’ai eu l’occasion d’en parler avec une vendeuse au Japon et j’ai réussi à l’épater à coups de « Sugoiiii! »( = « extra, super » en japonais) avec « ma » machine haha !).

 

Comment ça marche ?

Comme pour la célèbre machine à café, on remplit un réservoir d’eau puisque Chef Cuisine est basé sur un réchauffement des aliments par cuisson lente (bain marie/vapeur).

On insère les enveloppes saveur dans les fentes prévues à cet effet. La machine détecte automatiquement quel plat on vient d’insérer, c’est magique !

Elle questionne alors sur le désir de déguster sa viande rosée ou à point : vraiment très simple ! et hop ! On attend une trentaine de minutes et c’est prêt.

Cela a d’ailleurs commencé à me convaincre la veille de notre départ au Japon puisque surchargée de travail de dernière minute, je n’avais pas eu le temps de préparer ma valise et encore moins de cuisiner. Mon homme rentrant tard également de son travail (haha, ménagère de moins de 50 ans, bonjour !… J’ai l’impression de jouer dans Desperate Housewives…), le fait d’avoir ces plats Chef Cuisine dans le frigo a été notre béquille salvatrice !

 

Mes impressions à chaud (héhé)

Un peu dubitative vu que la nourriture arrive par sachets (le côté nourriture de la 4ème dimension me faisait un peu peur), lors de la dégustation, j’avoue avoir été bluffée par la précision à laquelle sont cuites les viandes et poissons.

Tout est étonnamment tendre et savoureux. (A noter : Aucun conservateur, colorant ni arôme artificiels)

Rien à voir avec les plats cuisinés que l’on réchauffe au micro-ondes, c’est assez bluffant. Je dirais juste que si l’on aime manger ce qui croustille, on ne peut le préparer avec cette machine (snif) mais en même temps, Anne-Sophie Pic m’a dit qu’il fallait continuer à cuisiner pour ça !

Après, la machine est un peu trop imposante à mon goût (en même temps pas trop le choix, vu le système de cuisson) mais j’ai choisi de la customiser avec des stickers ramenés du japon (c’est la folie là-bas, ce sont des autocollants qui résistent aux UV et à l’eau) pour la rendre un peu plus « fun » lorsqu’elle trône dans ma cuisine. Quand « Top Chef » rencontre « Nouveau look pour une nouvelle vie »…

Vu que je suis privée du plaisir de cuisiner avec cette machine, je le compense avec le dressage ! En effet, l’appareil est fourni avec des emporte-pièces, poche à douille pour pouvoir dresser comme un chef et c’est vraiment très drôle (on peut choisir de dresser comme sur le modèle ou à « sa sauce » !).

J’espère m’en être bien sortie sur ces photos : je vous montrerai davantage de plats « dressés » dans un prochain article.

Poitrine de veau roulée, boulgour à l’origan et chutney de prunes au gingembre

Les portions sont très honorables, d’autant plus que vous savez que j’ai un grand appétit (sur les photo, j’ai choisi de dresser la moitié de la portion pour chaque plat, ce qui peut vous donner une idée).

Filet de volaille cuit lentement au poivre de Voatsiperifery, purée de navets, chutney de dattes

Au final, je suis étonnamment séduite par ce concept que je ne saisissais pas vraiment au départ.

Les tarifs des plats variant entre 5 et 16 euros, je crois que je vais commander des plats de temps en temps (la carte des 30 plats change tous les 4 mois) pour avoir à disposition ma réserve de plats de secours mais aussi de plaisir. À suivre…

Appareil « Chef Cuisine » et plats gastronomiques élaborés par la Chef étoilée Anne-Sophie Pic
disponibles sur le site Chef Cuisine

Tokyo Disneyland

· Food, Mode, Voyage

C’est parti ! Il est enfin l’heure de vous conter mon périple japonais édition automne 2015 qui s’est déroulé du 31 octobre au 18 novembre dernier.

Comme la dernière fois, j’ai tenu un carnet de bord jour après jour et je vais vous le partager sur le blog dans les semaines (…mois) à venir ! Préparez vos yeux à la lecture !

J’ai terminé mon voyage par 6 jours à Tokyo et comme j’ai pas mal développé cette ville l’an dernier, je vais commencer par vous raconter quelques morceaux de Tokyo pour passer ensuite à mon périple plus détaillé dans les autres villes du Japon.

Mais soyez libres de me poser toutes les questions que vous avez en tête si vous préparez votre voyage : je ferai de mon mieux pour y répondre dans les commentaires.

 

Retour à Tokyo Disney resort

Je commence donc par ce qui a semblé intéresser pas mal de personnes sur Instagram : TokyoDisneyland ! Vous pouvez d’abord lire mon billet de l’année passée sur TokyoDisneySea pour connaître un peu l’organisation des parcs Disney à Tokyo.

Je souhaitais cette année découvrir la version classique du parc car même si je commence à connaître notre Disneyland Paris sur le bout des doigts, il est toujours intéressant de découvrir son alter ego japonais !

A quelques détails près, il comprend des mondes similaires à Paris (la carte ici) et certaines attractions du même nom mais il y a toujours quelque chose qui y diffère malgré tout, vous verrez !

Bizarrement, nous nous sommes beaucoup moins bien organisés que l’an dernier niveau Fastpass et attente aux attractions (on voulait profiter de l’ambiance sans se mettre trop de pression). Dépourvus de notre rigueur militaire de l’année passée, nous n’avons pas eu le temps de tout tester.

Il faut noter que le parc est aussi bondé en semaine que le week-end mais les visiteurs sont tellement disciplinés et l’organisation au point, font que ce n’est pas vraiment un problème finalement. La magie est toujours présente.

Je vais donc ratisser monde par monde et vous indiquer les attractions qui bénéficient du Fastpass (système de Pass qui permet d’éviter les files d’attente, comme à Paris), celles qui m’ont plu, pour que vous puissiez cibler à l’avance les attractions qui méritent d’être faites en premier. Prêts?

 

World Bazaar

Monde situé à l’entrée du parc équivalent de notre Main Street. Pas vraiment d’attractions ici mais plutôt des boutiques. En cette période pré-Noel, la magie du sapin opère.

A noter, la présence d’un restaurant japonais Hokusai servant des tempuras et chirashis (pas pu tester vu le monde, mais comme la nourriture des parcs Disney Tokyo est fabuleuse où que l’on aille, il ne devrait pas y avoir de souci).

 

Adventureland

Pas de fastpass ici mais l’attraction « Pirates des Caraïbes » est quand même sympa à faire : découpée différemment qu’en France et décors plus étoffés et plus grandioses (on a même la chance de croiser Jack Sparrow!).

J’aurais bien voulu tester l’attraction « Jungle cruise » qui consiste en un petit safari en barque au milieu de la jungle : next time !

Dans ce monde se trouvent un stand de nouilles chinoises et de délicieux bánh bao (nikkuman) en forme de Mickey et Minnie.


 

Westernland

Pas pu tester le train de la mine (Big Thunder Mountain) version japonaise car fermé au public ce jour-là!

Amateurs de sport ou si vous souhaitez réaliser un remake du clip de mes chers Take That, vous pouvez aussi ramer à l’unisson dans l’attraction Tom Sawyer island rafts.

 

Critter country

Tout petit monde ambiance Davy Crockett.

Intérêt majeur : L’attraction « Splash mountain » qui peut être visitée avec un Fastpass mais inconscients, nous y sommes allés sans…

Ce qui nous a valu une attente de 1h15. Cela dit, pour nous consoler, l’attraction dure vraiment longtemps : à bord d’un tronc d’arbre, on navigue au milieu de décors archi-bien fignolés (je ne connais pas « le frère Lapin », le personnage héros de l’attraction par contre, c’est grave ? ) et chute éclaboussante à l’arrivée : vraiment fun!

 

Fantasyland

Les mêmes classiques de contes de fée qu’à Paris comme Blanche-Neige, Peter Pan, les tasses d’Alice que je n’ai pas choisi de tester.

Fastpass pour :

La maison hantée « Haunted mansion » (bizarrement située dans ce monde enchanté) et que nous n’avons pas eu le temps de faire, faute de temps… je regrette !

Winnie the pooh Hunny’s Hunt : voyage à bord d’un pot de miel dans le monde de Winnie.

 

ToonTown

Nous sommes restés un moment dans ce monde décoré façon dessin animé Disney classique (ode à Mickey et ses amis).

Pas de fastpass ici mais nous avons tout de même pu faire l’attraction « Roger Rabbit Car Toon’s spin » à bord de voitures tournantes sillonnant un très beau décor en rapport avec le dessin animé. Délicieux bretzels à la crème pâtissière au passage.


 

Tomorrowland

Le monde du futur, reflet de notre Discoveryland parisien.

Ici 4 attractions FastPass :

Star Tours : je remercie notre intuition car le parcours et scénario sont différents de ceux de Paris (toujours pas d’Obi (E)Wan kenobi à l’horizon cependant !) et nous sommes munis de lunettes 3D ce qui rend l’expérience encore plus impressionnante.

Monsters Inc Ride & Go Seek : cela m’a fait penser à l’attraction Buzz l’éclair en France : munis de lampes torches à bord d’une nacelle en duo, on éclaire les monstres croisés sur notre chemin qui réagissent illico à cette mise en lumière. Dommage qu’il n’y ait pas de système de comptage de points à la fin.

Buzz Light Years astro blaster : pas testé mais je suppose que l’attraction Toy Story que j’avais tant aimé l’an dernier à Disney Sea est plus drôle.

Mochis « hommes verts » fourrée à la crème pâtissière !

Space Mountain : pas pu la faire non plus hélas : j’aurais bien voulu savoir si c’était plus mou qu’en France ou non.


 

Tokyodisneysea… après 18h !

On avait quand même la nostalgie de ce parc visité l’an dernier et on nous a conseillé d’y voir le spectacle nocturne de Noël « Colors of Christmas », qui soi-disant, serait plus féerique qu’à TokyoDisneyland.

Comme il n’existe pas de pass 2 parcs, nous avons donc pris un billet Tokyodisneyland pour la journée (1-Day passport = environ 55 euros) et un billet Tokyodisneysea après 18h (After 6 passport: environ 33 euros). C’est le seul moyen pour visiter les 2 parcs en 1 jour, sachant qu’ils ferment tous les deux à 22h.

Cela demande donc un peu d’organisation : prendre le train interne pour rejoindre l’autre parc, sachant que l’on peut revenir dans le parc initial autant de fois que l’on veut. Mais ça vaut le coup !

 

Quelques conseils en vrac

Pour connaître la liste exhaustive des attractions de chaque monde, regardez avec attention la carte de Tokyodisneyland. Cela vous permettra de noter ce qui vous intéresse.

Comme d’habitude, je vous conseille d’arriver une demi-heure au moins avant l’ouverture du parc.

La parade « Disney Christmas Stories »

Pour les parades et spectacles, les japonais s’installent très tôt par terre (sur leur petit tapis= organisation je vous dis !) et enlèvent leur chapeau pour ne pas gêner la personne derrière : bluffant ! Cela signifie que vous admirerez les parades avec aisance sans avoir à grimper sur les épaules de quelqu’un.

La parade « Happiness is here »

Les boutiques sont étonnamment peu fournies en décos de Noël : je pensais me ramener quelques jolies décorations « Made in Japan »… eh bien même pas ! J’ai seulement craqué pour les pins Toy Story (dont je fais la collection) mais pour le reste, je n’ai pas vraiment remarqué de kawaïeries dignes de ce nom. Au moins, le portefeuille se portera mieux.

Profitez-en donc pour goûter à la nourriture qui s’offre à vous dans les deux parcs, avec toujours, le même système de popcorns à goûts différents (sauce soja et beurre en nouveauté cette année!) : la nourriture sur le pouce et autres gourmandises sont aussi jolies que savoureuses, on aurait tort de s’en priver.

Pour le reste, je vous laisse découvrir par vous même si vous avez la chance d’y aller. Profitez de la magie Disney… version nippone !


Ma Tenue

Perfecto Paul & Joe Sister
Robe Vila
Collants Wolford
Boots Miista
Chaussettes lurex &Other Stories
Sac K/Kuilted Karl Lagerfeld
Bracelets Dinh Van, Mya Bay

Rouge à lèvre « 16 Place Vendôme 364 » Color Riche L’Oréal Paris
Eyeliner Super Liner Black Lacquer L’Oréal Paris
Vernis 873 Carnal dentelle Color Riche L’Oréal Paris

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