Day 8 : Tokyo Skytree

· Food, Illustration, Mode, Petites tenues en situation, Voyage

L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt ! Cette fois-ci encore, nous nous sommes levés (mais pas aussi tôt que pour le Tsukiji market !) pour arriver avant 8h, heure d’ouverture de SkyTree, la grande tour d’observation de Tokyo.

 

Celle-ci est avant tout une station de diffusion radio/télé (comme la tour Eiffel) construite en 2011. Elle n’existait donc pas lors de mon précédent voyage et le fait de savoir que c’est la 2ème plus haute tour du monde (634 m de haut) après la tour Burj Khalifa de Dubaï (828m) nous a vraiment motivés à y aller.

Pour tout vous avouer, ignorants que nous sommes, nous avions tenté d’aller visiter la SkyTree quelques jours auparavant mais à 11h. Erreur de débutant : C’était bondé ! Il fallait faire la queue pour un ticket qui nous permettait de reprendre rendez-vous pour acheter un ticket : voyez un peu le labyrinthe de l’angoisse.

Nous avons donc capitulé et reporté notre visite. Très sage décision puisque lorsque l’on arrive pour l’ouverture, nous accédons directement au guichet de tickets, sans attendre.

Conseil : venez donc soit avant l’ouverture soit en fin d’après-midi/début de soirée (pour… chanter chanter chanter ce refrain qui te plaît). L’accès sera réellement facilité pour vous.

 

Une fois sur place il y a deux étages d’observation: Le Tembo deck (350m) et à ce niveau là, vous pourrez acheter un 2ème ticket si vous voulez monter plus haut, au Tembo Galleria (450m). Nous avons visité les 2 étages et je n’ai vraiment pas été déçue.

La vue est déjà extrêmement impressionnante du 1er niveau : j’avais la sensation de dominer le monde (Gniark Gniark Gniark! Rire sardonique), de planer : une sensation vertigineuse assez étrange mais pas du tout dérangeante (pour moi en tous cas). De là-haut, on peut vraiment observer tous les recoins de Tokyo à 360°.

Ils ont aménagé des écrans tactiles extrêmement pratiques pour situer les monuments de la ville.

Une fois arrivé au 2ème niveau, le Tembo Galleria, on emprunte un passage en pente que l’on devine dans mes photos de look pour accéder au Sorakara Point, l’endroit le plus haut de la tour qu’il nous est permis d’accéder (451,2m).

Trench H&M
Collier / necklace ASOS
Marinière / breton shirt A.P.C
Pantalon cuir / leather pants La Redoute (déjà vu ici)
Pochette / clutch Aquvii (Japan)
Sneakers Converse

Une fois redescendus sur Terre, nous avions rendez-vous pour déjeuner avec mon cousin, qui habite Tokyo.

SUSHIEI (すし栄)

Il nous a emmené manger des sushis dans notre quartier d’Asakusa : je vous partage donc l’adresse (1-34-4 Asakusa, Taito-ku Tel :03-3842-7989) où nous avons dégusté de délicieux sushis et chirashis.

Nous sommes ensuite partis faire quelques courses dans le quartier : achat d’un joli yukata pour ma part (que j’aurai l’occasion de vous montrer très vite) et de parapluies transparents à Don Quijote pour faire des cadeaux (=objet parfaitement banal au Japon mais tellement exotique chez nous !)…

Puis aux détours d’une allée, rayon déguisements, voilà ce qui arriva. De simples retrouvailles en famille n’est-ce pas ?

Previously on MY JAPAN TRAVEL DIARY :
Notre appart à Tokyo
Day 1
: Sumida Park & Asakusa
Day 2 : Namco Namjatown
Day 3 : Omotesando & Harajuku
Day 4 : Ueno Park
Day 5 : Errances gourmandes à Omotesando
Day 6 : Odaiba お台場
Day 7 : Tsukiji market, Meiji & Yoyogi

 

Day 7 : Tsukiji market, Meiji & Yoyogi

· Illustration, Voyage

Debout là-dedans ! En effet, pour ce 7ème jour, si je vous dis qu’on s’est levés à 2h30 du matin (couchés à minuit pour info) pour aller voir la criée au marché aux poissons de Tsukiji, vous pensez qu’on a du courage/qu’on est fous (rayez la mention inutile) ? J’y repense et je me dis que oui en effet…

On m’a toujours dit que c’était une chose à voir à Tokyo et comme je ne l’avais pas fait lors de mon dernier voyage, je me suis pliée à cette corvée du réveil.

 

TSUKIJI Market (築地市場)

Je m’étais donc renseignée auprès de notre fabuleuse concierge et celle-ci me confie qu’il faut arriver très tôt (cad 3h30-4h grand max) pour avoir une chance d’assister à la criée à 5h du matin. En effet, le marché n’accepte que 120 privilégiés (ou inconscients matinaux, c’est comme on veut), scindés en 2 groupes de 60 pour accéder à cette fameuse enchère au thon (une séance à 5h et une autre à 5h25).

Imaginez-vous que nous sommes arrivés à 3h15 (en taxi, sachant que le métro n’est pas ouvert à cette heure-ci) et pensant arriver dans les premiers, nous nous sommes finalement retrouvés dans le second groupe de 60 personnes (il ne devait rester que 20 places après nous)…. ça vous laisse entrevoir la motivation extrême des touristes !

 

Bon, et donc ? est-ce que ça vaut le coup ? Alors, je peux fièrement dire que « Oui! je l’ai fait ! » mais j’avoue que j’ai été un peu déçue. J’avais tout entendu sur cette criée : « fantastique », « c’est spectaculaire… »

Alors oui, c’est assez « folklorique » puisque le maître des enchères (appelons le ainsi), après avoir agité sa cloche, gesticule et hurle tel un Jay-Z en plein concert. Il semble crier des prix et certainement le numéro des thons qui sont placés devant lui : un vrai Wall Street du thon.

 

Mais c’est assez court (15 minutes) comparativement à l’effort fourni pour patienter/ se lever. Donc, je ne sais pas trop quoi vous conseiller.

Si vous avez envie de dire « Je l’ai fait! » levez-vous tôt sinon je ne pense pas que ce soit bien grave de manquer cet événement, le marché ouvre ses portes à 9h et c’est assez sympathique de déambuler dans ses allées.

 

Cela dit, il est aussi coutume d’enchaîner avec une dégustation de sushis dans l’un des restaurants du marché : le poisson y est donc de la première fraîcheur. Je n’ai jamais mangé de sushi aussi tôt dans la journée (à 6h du mat’, un plateau de sushis, ça vous dit ?), mais j’ai bien apprécié la qualité.

 

Cela dit, j’ai trouvé que les chefs sushi avaient tendance à forcer la main pour la commande (on commande au fur et à mesure ses sushis) donc si vous avez un budget restreint, dites-le dès le départ afin que l’on ne vous propose pas de sushis à l’infini et qu’en plus d’être fatigués, vous vous retrouviez sans le sou.

 

MEIJI-jingū (明治神宮)

Qu’avons nous fait ensuite durant cette journée fraîchement commencée ? Direction le sanctuaire Meiji près de Harajuku : toujours aussi beau qu’en 2007. J’ai pensé à vous et ai déposé une plaque votive (Ema 絵馬) pour vous porter chance !

 

Dans les sanctuaires Shintoïstes, il est d’usage d’écrire sur ces plaques de bois ce que l’on souhaiterait qu’il nous arrive (au détriment des remerciements d’ailleurs) : j’ai donc fait une demande groupée !

 

YOYOGI Park (代々木公園)

Ensuite, la fatigue commençant à se faire sentir, nous nous sommes dirigés vers le parc Yoyogi pour admirer encore une fois les cerisiers en fleurs.

Cette fois-ci, le pique-nique fut écourté puisque nous avons sombré dans les bras de Morphée à l’ombre d’un cerisier et nous sommes réveillés in extremis avant qu’un corbeau ne décide de nous bénir (mais ouf, quelle bonne idée de s’être décalés à temps).

 

SHIBUYA (渋谷区)

Petit tour en fin de journée à Shibuya pour un karaoké en salle privée (j’aimerais tellement qu’il y ait la même chose en France !) et hop au dodo !

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Day 5 : Errances gourmandes à Omotesando
Day 6 : Odaiba お台場

 

Day 6 : Odaiba お台場

· Illustration, Mode, Petites tenues en situation, Voyage

Odaiba est une grande île artificielle située dans la baie de Tokyo.

Pour y accéder, on a déjà l’impression d’avoir fait un bon dans le futur puisqu’il faut emprunter la ligne de métro Yurikamome sans conducteur. Si possible, évincer tous les passagers à coup de sabre laser pour tenter d’accéder aux places à l’avant.

Une fois arrivés là-bas, on se sent un peu comme dans un parc d’attraction avec le robot géant Gundam devant le building DiverCity.

Par moment, ses yeux s’allument et il crache de la fumée. Ma fibre Geek a bien vibré : je suis restée bloquée devant pendant une bonne demi-heure.

Sur place, on peut faire du shopping dans les immenses centres commerciaux : Venus Fort (avec une reconstitution un peu kitsch de l’architecture de Venise à l’intérieur) à Palette Town. Ou pourquoi pas un tour dans la grande roue arc-en-ciel ?

Le « Toyota History Garage » est intéressant à visiter puisqu’il regroupe un nombre impressionnant de voitures à travers les siècles (la DeLorean !). N’étant pourtant pas une connaisseuse, j’ai beaucoup aimé alors je n’ose imaginer pour ceux qui le sont. Et bonne nouvelle, c’est gratuit.

D’autres idées de visites s’offrent à vous : admirer la vue en haut du building de la chaîne TV Fuji, faire un tour à Legoland, se prélasser dans un bain chaud au Oedo Onsen Monogatari ou traverser à pied le Rainbow Bridge, le Golden Gate version Tokyo.

Les photos qui suivent ont d’ailleurs été prises sur le Rainbow bridge avec un vent terrible qui nous a glacés sur place. Mais j’imagine qu’en été cela doit être plus agréable.

Côté look, vous remarquerez ce fabuleux accessoire que je porte à mon épaule. Coup de folie, j’ai craqué dans un magasin à Omotesando. Je le trouvais génial, un peu comme toutes les créations de Charlotte Olympia au final.

À présent, dès que je le porterai, j’aurai l’impression d’avoir un bout de ce merveilleux voyage avec moi. Et ça n’a pas pas de prix (enfin si, quand même un peu).

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